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Cachou à Quibéron
Les élèves de Jean-Claude Camus,
école André Moncond'huy, Villers-Cotterêts,
France
L'histoire de Cachou a plusieurs
fins.
Les élèves ont été inspirés au
retour de leur voyage en Betagne.
La fin selon...
La fin par Soélie
Arrivés
en Sicile, Homer et Cachou entrèrent dans une pizzeria pour se restaurer.Homer
ne pouvait résister à l’odeur des bonnes pizzas quiétaient en train de
cuire dans le four.C’est alors qu’il s’assit à une table et dit :
" Garçon ! Pourrais-je avoir une de ces bonnes pizzas aux olives, s’il
vous plaît ?
- Bien sûr. Je vous l’apporte tout de suite. "
Dès qu’ Homer eut fini de se régaler, il paya et s’en alla. Homer et Cachou
allèrent se réfugier dans la soute au
moment même où Jeff, Fred et Brutus sortaient d’une autre pizzéria.
Ils avaient eu chaud. " J’espère qu’ils ne nous ont pas vus ! s’écria
Homer "Homer avait acheté un vêtement de pêcheur pour passer inaperçu:
un ciré jaune, un pantalon ciré jaune, des bottes en caoutchouc.
Dès qu’il fut habillé, un pêcheur passa et dit : " Bonsoir, vous êtes
nouveau dans le coin ?
- Euh … Non ! Je suis seulement de passage.
- Ah ! Mais vous avez un drôle de chien !
- Euh … Oui !
- Bon !ben, au revoir ! "
Le pêcheur partit.
Jeff, Fred, Brutus, Homer et Cachou reprirent la mer sur un autre bateau.Ils
passèrent au détroit de Gibraltar pour, le lendemain, rejoindre le port
de La Corogne . Arrivés là-bas, ils débarquèrent et rencontrèrent un homme
qui devint leur ami. Ils avaient surpris un coup de téléphone venant d’une
personne disant aux voleurs:
" Partez à Quiberon et allez à l’ancien Sémaphore !"
C’est alors que Homer et Cachou découvrirent, dans la conversation, avec
horreur que cette personne était MARCEL !
Marcel était donc le chef des faux-monnayeurs.
Ils reprirent le bateau pour se diriger vers la presqu’île de
Quiberon. Dès qu’ils furent arrivés à port Maria, ils durent marcher un
petit peu et empruntèrent la voiture d’un très vieil ami. Ils étaient
donc, tous les deux, les premiers à arriver en haut de la tour. Homer
tira une pierre qui allait tomber mais en fait, il dénicha la cachette
des voleurs.
" Qu’est-ce que j’ai fait ? s’écria-t-il.
- Je ne sais pas, répondit Cachou.
- Oh ! Regarde ! s’écria Homer. "
Les faux-monnayeurs arrivèrent
enfin et à ce moment là, ils entrèrent dans la cachette et Homer remit
la pierre à sa
place et elle se referma. Cachou dit à Homer:
" - Téléphone à la police Bretonne,
- D’accord, répondit Homer !Ils sont pris au piège ! "
C’est ainsi que Cachou put faire
prendre les brigands et leur cargaison. Il reçut une belle somme d’argent
en récompense qu’il donna aux enfants malades.

La cargaison tangue au passage du détroit de Gibraltar.

La fin par Thomas.
Une
fois devant le bateau Homer dit : " Si l’on montait dans ce bateau…. "
Ils se faufilèrent jusqu'à la soute où ils entrèrent.
- Qu’est ce que j’entends ? dit Cachou.
- C’est sûrement le bateau qui largue les amarres, répondit Homer.
Homer vit les fameux tonneaux. Cachou ouvrit
un de ces tonneaux, il découvrit plein de fausse monnaie.
Quelques heures plus tard ils entendirent des grognements :
- Arrête Cachou tu vas nous faire repérer, dit Homer.
- Mais non, ce n’est pas moi !
- Si ce n’est pas toi, qui c’est ?
Puis les grognements se firent de plus en
plus forts et la gueule de Brutus apparut. Il sauta sur Cachou et Homer,
mais Homer lui donna un coup de chaussure et Brutus repartit en hurlant.
Mais il avait réveillé Jeff. La porte s’ouvrit et Jeff fouilla partout.
"- Il faut aller se cacher, dit Homer.
- D’accord, dit Cachou."
Ils allèrent se cacher dans un
tonneau et Jeff repartit. Ils ressortirent pour respirer. Homer alla à
la porte pour écouter ce que les brigands disaient. " Nous voilà arrivés
en Sicile. Nous allons pouvoir nous restaurer. "
Homer et Cachou sortirent de la soute. Ils suivirent les trafiquants.
Les brigands s’arrêtèrent dans un restaurant.
Cachou et Homer s’y faufilèrent aussi et commandèrent un plat de lasagnes
arrosé de Chianti, qu’il mangèrent sur la terrasse du restaurant, puis
ils rentrèrent se cacher dans la soute du bateau.

Toute la bande est arrêtée devant le sémaphore grâce à Cachou.
Homer se remit derrière la porte pour écouter
ce qu’ils disaient : " Nous allons à présent passer par le détroit de
Gibraltar et après en Corogne pour déposer la cargaison. Bon, je vais
voir dans la soute pour surveiller la marchandise, dit Jeff. " Ils se
cachèrent tous les deux et Jeff repartit. Et voilà nos deux héros en Corogne.
Homer fit un petit trou dans la porte pour
regarder ce qu’ils faisaient.
Jeff reçut un coup de téléphone : " Oui, Marcel ! Il faut aller en Bretagne
à Quiberon ! Merci Marcel. "
Et ils repartirent pour Quiberon.
Une fois arrivés, ils descendirent du bateau. Homer et Cachou allèrent
dans une coopérative pour y acheter de la
nourriture. Ils virent un pêcheur en ciré jaune. Le vendeur dit : Ca va
Marcel, bonne pêche ?
- Oui ça va, j’ai pêché des araignées de mer, des aiguillettes et des
lieus jaunes ! Et Cachou se rendit compte qu’il y avait quelque chose
de bizarre. Donc, ils décidèrent de le suivre. Ils montèrent tous les
deux, en cachette,
dans le camion de Marcel et celui-ci s’arrêta devant le Sémaphore. Ils
virent toute la bande le rejoindre.
Marcel entra dans le sémaphore ; il appuya sur une pierre et une porte
apparut. Homer vit plein de tonneaux par la porte entrouverte . Il décida
d’avertir la police et tous les brigands se firent arrêter.

La
fin par Marine
Ils partirent
d’Egypte en bateau dans un tonneau. Tout était calme. Deux jours plus
tard, Ils s’arrêtèrent en Sicile, où ils mangèrent des lasagnes et un
tiramisu et reprirent la mer pendant deux jours. Cachou et Homer se demandaient
bien où ils allaient arriver. Ils s’arrêtèrent au détroit de Gibraltar,
où ils mangèrent de la paella et burent beaucoup de sangria.
Il y eut un coup de téléphone pour Jeff et Fred qui leur disait d’aller
à la Corogne.
L’océan était très agité .Maintenant
les tonneaux bougeaient dans tout les sens. Enfin, ils arrivèrent à la
Corogne , où ils dégustèrent une pizza et de la glace. Il y eut encore
un autre coup de téléphone pour Jeff et Fred, qui leur disait cette fois-ci
de se rendre à Quiberon. Fred dit d’accord à Marcel. Une journée plus
tard, ils arrivèrent à Quiberon. Ils
descendirent du bateau. Ils suivirent Jeff et Fred. Ils arrivèrent au
Galion qui est un magasin de souvenirs. Jeff et Fred rencontrèrent un
monsieur. Jeff dit : " Salut Marcel , qu'as tu pêché aujourd’hui ?" Marcel
répondit : " Des araignées, des crabes…etc. "

Le" Marina" fait route vers Port Maria avec toute sa cargaison de fausse-monnaie.
Là, Cachou et Homer se rendirent
compte que ce Marcel était le chef de la bande et ils virent tous les
brigands
partir ensemble. Ils se dirigèrent vers l’ancien sémaphore dans une camionnette
avec les tonneaux. Arrivés là, Homer téléphona à la police. Dix minutes
plus tard, deux camionnettes de gendarmes arrivèrent. Les policiers descendirent
dans la cachette située en-dessous du sémaphore où les malfaiteurs s’étaient
engagés . Ils remontèrent avec les faux-monnayeurs et Brutus, à qui ils
mirent une muselière, et emmenèrent toute la bande en prison.
Cachou et Homer furent félicités
et reçurent une belle récompense.


Quel plaisir de retrouver la terre ferme pour se
restaurer!
La
fin par Benjamin
La traversée
en bateau
Ils arrivèrent devant le bateau ils décidèrent de se cacher dans une caisse
pour être chargés avec toute la cargaison.
Le plan se déroula comme prévu, à part Brutus qui les avait flairés et
qui alla les voir pour avoir du sirop d’érable. Mais Homer lui dit : "
Pars ! On n’en a plus. Chut ! Tu vas réveiller tout le monde . "
Alors Brutus retourna sur le pont. Plus tard, lorsqu’ils furent en pleine
mer, ils sortirent de leur cachette car
ils entendaient des gens parler. Ils se cachèrent derrière le mur et ils
écoutèrent :
" Quoi de neuf ?
- Rien de neuf ! On suit toujours le même cap . On arrivera en Sicile
dans quelques jours. Jeff me l’a dit.
- Il ne faudra pas trop traîner là-bas car il faut allez mettre les tonneaux
en sécurité dans l’ancien Sémaphore ".
Cachou demanda à Homer : " C’est où l’ ancien sémaphore ?
- Je ne sais pas répondit Homer . "
Le brigand reprit : " On appellera notre ami Marcel quand on sera au port
en Sicile, pour avoir plus d’informations. "
Quelques jours s’écoulèrent et ils arrivèrent au port de Syracuse et les
brigands appelèrent leur ami. Il leur dit que la destination finale était
Quiberon, en Bretagne. En Sicile, Cachou et Homer suivirent un homme qui
avait un sac rempli d’argent dans ses mains. D’un seul coup une pièce
tomba, ils la amassèrent et virent qu’elle était identique à celles contenues
dans les tonneaux. Ils retournèrent vite dans le bateau pour surveiller
le reste de la
cargaison. Les brigands reprirent la mer, firent une escale à La Corogne,
au nord de l’Espagne et arrivèrent à port Haliguen (un des ports de Quiberon).
Une fois là-bas, ils suivirent l’homme qui avait de la fausse monnaie
qui
se dirigeait vers " le galion "(un bateau transformé en magasin de souvenirs).
Quelqu’un dit à notre homme : "
- Alors Marcel, la pêche a été bonne ?
- Oui, mais ne traînons pas, donne-moi la fausse monnaie !
- Oui, chef ! "
Et il repartirent en voiture avec
une camionnette remplie d’argent. Ils partaient à coup sûr vers l’ancien
Sémaphore. Alors Cachou et Homer louèrent une voiture pour les retrouver.
Ils arrivèrent 10 min après, mais il n’y avait qu’une tour toute raide.
Ils entrèrent après avoir appelé les policiers , montèrent l’escalier
mais
Cachou tomba. Il activa une manette qui ouvrit une porte secrète. Alors
ils s’y engagèrent et ils tombèrent face à face avec Marcel et sa bande
qui les capturèrent. Heureusement, les policiers arrivèrent et arrêtèrent
tous les malfaiteurs
pour les mettre en prison. On fondit toute la fausse monnaie pour en faire
des vrais Euros. Cachou et Homer furent récompensés pour leur courage.

La
fin par Anthony
Cachou partit
d’Égypte tout tristounet. La mer Méditerranée était agitée. Il avait le
mal de mer avec ces grandes vagues. Le bateau fonçait vers Malte. Homer
et Cachou se cachèrent dans une caisse. A côté d’eux, il y avait une cage
avec quatre cadenas où se trouvait enfermé un gros bouledogue du nom de
Brutus.
D’après moi, il devrait plutôt
s’appeler " la brute " ! ! ! Les tonneaux étaient sur pont et ils allaient
dans tous les sens, droite-gauche, gauche-droite … car l’océan était en
colère. Homer et Cachou furent contents quand les brigands s’arrêtèrent
à Gibraltar pour acheter de la nourriture. Il sortirent discrètement de
leur caisse sans éveiller Brutus et ils retrouvèrent quelques instants
la terre ferme. Ils en profitèrent pour déguster une bonne paëlla arrosée
de sangria, tout en surveillant le bateau. Brutus aboyait car un pauvre
pêcheur qui sentait mauvais passa à côté de lui. Le bouledogue pensa :
" Ah ! Ah ! Ah ! Buerk, ça sent le crottin !".
Pendant ce temps, Homer et Cachou
se restauraient et se échaient les lèvres.." Mum!! c’est trop bon !".
Ils remontèrent vite sur le bateau car les brigands s’agitaient et reprirent
la mer pour La Corogne.
Ils surveillaient nos voyous d’un œil et surprirent un coup de téléphone
d’un certain Marcel que reçut Fred. Il lui indiquait la destination finale
de la cargaison : Quiberon, en Bretagne où toute la bande devait se réunir.
Au bout de deux jours, ils arrivèrent
enfin à Port Maria, le port principal de la presqu’île de Quiberon. Homer
et Cachou se précipitèrent tout de suite au " bar de la marine " car ils
étaient affamés après ce temps passé
dans la caisse. Deux crêpes au jambon et un verre de cidre les remirent
sur pieds.
Ils rencontrèrent un pêcheur avec
son ciré jaune, ses bottes et sa vieille barbe.
Homer lui dit :
- " Alors ça va ?
- Oui, oui ça va ! La super forme ! lui répondit le vieux pêcheur:
- Qu’as-tu pêché de bon aujourd’hui ? "
D’un air furieux, car le vieil
homme ne voulait pas poursuivre la conversation, il lui répondit :
" Oh ! du lieu jaune, des araignées et des aiguillettes….
Vous n’allez pas me demander, tout
ce que je peux pêcher et si j’ai une belle voiture, des enfants, une belle
maison etc.… "
Le barman l’avait appelé Marcel, alors Homer et Cachou eurent quelques
doutes sur l’identité de ce pêcheur peu bavard et ils décidèrent de le
surveiller. Loin d’être bêtes, ils allèrent jusqu’au sémaphore d’où ils
pouvaient observer tous les alentours. Bientôt, ils virent Marcel arriver
en compagnie de nos brigands. Notre vieux pêcheur n’était en fait que
ce très cher Marcel, le chef de la bande. Il souleva une pierre, appuya
sur un bouton et une trappe s’ouvrit dégageant une cachette extraordinaire.
Toute la bande y pénétra… Homer et Cachou comprirent que c’était leur
repaire. Ils appelèrent la police qui arriva 5 minutes plus tard.
Le commissaire passa les menottes à Marcel et à ses complices tout en
lui indiquant ses droits.
Brutus qui s’était délivré de sa cage arriva en jappant de oie auprès
de Cachou et sauta dans les bras d’Homer en
le léchant, car pour lui ses misères étaient terminées et, tous ensemble,
ils s’exclamèrent :
" Youpi ! Quelle sacrée aventure ! Allons faire la fête !"

Toute la bande est arrêtée au sémaphore grâce à Cachou.

La
fin par Aurélie
Cachou et Homer
décidèrent de se cacher dans une caisse que l’on transporta dans la cale
d’un bateau appelé le « Déblayeur». Quand la porte de la cale se referma
Cachou dit à Homer :
«Qu’allons nous faire maintenant?» Homer resta immobile comme s’il était
un glaçon car il avait entendu des
pas. Soudain un des brigands ouvrit la porte de la cale. Cachou eut juste
le temps de se cacher dans la caisse où il retrouva Homer qui le regardait
avec un sourire. Le malfaiteur était vêtu d’ un gros pantalon à pattes
d’éléphant, d’ une
chemise couleur carotte et de grosses bottes en caoutchouc. C’était Jeff,
le chef de la bande. Il tirait une grande caisse qui bougeait tellement
que l’on aurait dit qu’il y avait un lionceau affamé dedans. Accidentellement,
Homer se réveilla et donna un grand coup dans le dos de Cachou qui tomba
sur ses pattes.
Le chef fit un pas en arrière, sa caisse se retourna. Le cadenas qui était
accroché s’ouvrit et un énorme chien en sortit, c’était BRUTUS, il avait
une tête de pitt-bull et une queue de lion. Le chef lui cria :«Brutus,
viens ici, sale bête !Ne cours pas après ce vilain cabot ! »
Brutus, comme d’habitude, fit semblant de ne pas entendre. Il s’approcha
d’une des caisses remplies de fausses pièces de monnaie derrière laquelle
Cachou avait pu se cacher. Cachou eut assez de temps pour aller retrouver
Homer qui se décida enfin à parler :
«Cachou, qu’allons nous faire, nous sommes dans un cul-de-sac?»
Brutus arriva à toute vitesse , il parvint à éviter, de justesse, le hublot
mais il s’écrasa le museau contre la paroi de la soute. Homer et Cachou
se regardèrent, puis un sourire illumina leurs visages. Ils étaient débarrassés
de Brutus qui grognait de douleur.
Homer et Cachou, tout joyeux, continuèrent leur traversée et arrivèrent
enfin sur la passerelle où le vent fouettait leurs visages. Les vagues
étaient déchaînées. Cachou aperçut une île. C’était l’île de Malte. Deux
gardes-côte arrivèrent. Cachou et Homer trouvèrent un canot de sauvetage
au bout de la passerelle, ils s’y faufilèrent et se cachèrent sous
une bâche. Après 10 minutes d’attente, ils sortirent du canot et se cachèrent
dans une cave à vin. Homer trouva drôle qu’il y ait des bouteilles de
vin dans un bateau, il en ouvrit une et découvrit une dizaine de fausses
pièces de monnaie qui
semblaient d’une couleur bizarre.
Soudain il y eut un crissement de la coque du bateau et le Déblayeur entra
dans le port de Malte. Une demi-heure plus tard, après que tout l’équipage
soit descendu du bateau, Homer et Cachou ouvrirent la porte de la cave
à vin, ils décidèrent alors de fouiller la cale où ils étaient. Un quart
d’heure après, ils découvrirent des centaines de tonneaux remplis de fausses
pièces de monnaie. Tous deux descendirent du bateau et prirent un chemin
qui les mena jusqu’au chef et à sa bande.
Tous entrèrent dans un restaurant. La bande commanda des fruits de mer
et une salade de riz à l’huile d’olive .
Homer et Cachou préférèrent un bon plat de pâtes à la sauce tomate et
des sardines grillées car ils étaient affamés. Une heure après, ils ressortirent
du restaurant et marchèrent, très près derrière l’équipage, sans se faire
remarquer. Deux matelots débutants de l’équipage traînaient un peu car
ils avaient un peu trop bu de « Kouros ». Cachou et Homer eurent une idée
: Homer pourrait assommer l’un d’eux, prendre sa place et faire croire
que Cachou est son chien.
En route, Homer siffla et les deux mousses se retournèrent. Il prit une
planche en bois qu’il avait trouvé sur le bord d’un quai et assomma le
dernier . Homer, après s’être déguisé en mousse, appela Cachou et ils
s’engagèrent
sur la passerelle du bateau. Après s’être assurés que tout l’équipage
était rentré, Homer et Cachou se dirigèrent vers les chambres où l’équipage
dormait. Homer dissimula Cachou dans un tiroir et lui dit : « Cachou reste
où tu es ! Je reviendrai te chercher quand nous reprendrons notre route.
Sois bien sage!»
Cachou fit un signe de tête qui signifiait oui.
Homer retourna sur la passerelle en faisant attention de ne pas se faire
remarquer par le chef car celui-ci avait déjà vu son visage. Un des faux-monnayeurs,
Fred, pour être plus précise, l’appela. Homer sentit
un frisson passer dans tout son corps ; il se retourna si vite qu’il faillit
faire tomber un tonneau. Le faux-monnayeur lui dit :«Eh! Toi ! Tu as oublié
de laver ton linge ! Vas-y tout de suite sinon tu vas avoir des problèmes
!»
Homer se trouva vraiment soulagé, son cœur battait très vite et il était
rouge comme une tomate. Le seul problème était que sur un bateau de transport
il n’y a pas de lingerie. Il se rendit compte que ce n’était pas un ordre,
mais un mot de passe qui signifiait qu’il fallait enlever les fausses
pièces de monnaie qui étaient dans
les bouteilles de la cave à vin.
Il se demanda à quoi cela pouvait servir de nettoyer des fausses pièces
de monnaie, mais il s’exécuta. Sans perdre de temps, il se rendit dans
la cave à vin où il découvrit une dizaine d’hommes qui vidaient des bouteilles
de vin et
les mettaient dans des tonneaux d’eau. Il vit qu’il devait y avoir au
moins un millier de bouteilles remplies de fausses pièces de monnaie.
L’un des faux-monnayeurs l’appela, c’était Fred le frère de Jeff, qui
lui dit: «Arrête de
regarder ! Allez, mets-toi vite au travail, nous n’avons plus beaucoup
de temps. Dans 2 heures nous serons au détroit de Gibraltar . Alors, remue
un peu tes fesses, allez!!!»
Homer ne savait pas quoi faire ; alors il s’assit sur une chaise et il
prit des bouteilles qui passaient devant lui sur un tapis roulant. Il
rapprocha de lui quelques tonneaux et se mit au travail. Il déboucha des
bouteilles et en sortit dix fausses pièces de monnaie. Pendant une heure
et demie, il fit ces même gestes. Puis, un des faux monnayeurs dit : «
Allez, c’est bon, vous pouvez remonter sur le pont. Dans 25 minutes nous
serons au détroit de Gibraltar. »
Tous les hommes qui faisaient partie de l’équipage, bien sûr, sortirent
de la cave à vin avec précipitation, mais quand Homer voulu les suivre,
il aperçut le commandant du bateau. Il monta les marches avec peur en
mettant sa cape
sur sa tête. Arrivé devant le chef, Homer se rendit compte qu’il pleuvait
; alors, il se couvrit. Le chef lui dit seulement : « Alors, bien travaillé
moussaillon ? »
Homer lui répondit avec un sourire : « Oui ! ça va, je suis content d’être
là ! »
Le chef lui fit une petite tape sur l’épaule et repartit dans son bureau
où les deux faux-monnayeurs l’attendaient pour rendre leur rapport.
Quand Homer fut arrivé dans la chambre où l’équipage dormait, il ouvrit
le tiroir où il avait installé Cachou et découvrit qu’il n’était plus
là. En se relevant, il vit Cachou allongé sur un des lits de l’équipage.
Il dormait paisiblement, mais Homer avait beaucoup trop d’idées en tête
pour le laisser dormir. Homer le réveilla avec insistance. Cachou émergea
et dit : « Mmmmmm ! Que se passe-t-il ? »
Quand Cachou vit Homer, il fit un sourire et Homer resta 10 minutes à
lui expliquer ce qui s’était passé pendant qu’il dormait tranquillement.
Cachou était stupéfait d’apprendre ces nouvelles. Quand Homer eut fini
son récit, la cloche du bateau se mit à faire ding-dong, ding-dong, ding-dong.
Homer monta sur le pont et demanda à un homme de l’équipage ce qui se
passait :
« Que se passe-t-il ? Pourquoi ces cloches ?» L’homme lui répondit : «
Eh bien, c’est simple, nous arrivons au détroit de
Gibraltar ! ! ! »
Homer alla chercher Cachou dans la chambre et l’emmena sur le pont. Quand
ils remontèrent sur le pont, l’équipage était en train de remonter les
pare-battages qu’il y avait de chaque côté du bateau pour empêcher les
rochers de le toucher.
Après quelques minutes le « Déblayeur » entra dans l’océan Atlantique.
Tout était calme, mais quelques miles plus loin, le bateau commença à
s’agiter car la houle devint de plus en plus forte.
Homer et Cachou qui étaient revenus dans leur chambre, remontèrent sur
le pont . Il pleuvait et la mer était déchaînée. Vingt-cinq hommes étaient
eux aussi sur le pont : dix manœuvraient les voiles et les 15 autres attachaient
les tonneaux, tiraient sur des cordages, tandis que le capitaine tenait
fermement la barre.
Après deux heures, la mer se calma et, le « Déblayeur » arriva enfin près
du port Maria(le port principal de Quiberon).

L'arrivée à Port Maria.
Arrivé dans le port, le « Déblayeur » s’arrêta au bout du quai qui menait
aux hangars de stockage.
Homer et Cachou descendirent du bateau. Homer continua à jouer le rôle
du moussaillon, et aida à décharger quelques caisses et des tonneaux remplis
de fausses pièces de monnaie. En fait Homer suivait les autres et il faisait
semblant de savoir où il allait. Arrivé à l’intérieur du hangar suivi
de Cachou, il découvrit, des tapis roulants sur lesquels on posait les
tonneaux. Quand il eut fini son travail, il passa devant une porte et
surprit la conversation suivante : « Salut Marcel, ça va, tu as bien pêché
?
- Oui! des araignées de mer, des crabes, des langoustes…
- J’espère que tu as tout vendu.
- Pas mal, mais j’ai plus intéressant pour gagner beaucoup d’argent. Tu
vois ce que je veux dire !
- Je vois. Rassure-toi, tout est en ordre. Toutes les bouteilles et les
tonneaux sont bien au sec dans le hangar.
- C’est parfait ! Ne reste pas là ! On se retrouve tout à l’heure où tu
sais.
- Bien ! A tout de suite ! »
Homer et Cachou se rendirent compte que Marcel c’était le cerveau de la
bande. Alors les deux amis sortirent très vite du hangar par une porte
de secours et arrivèrent dans une rue où il trouvèrent une cabine téléphonique.
Homer téléphona à la gendarmerie qui arriva devant les docks cinq minutes
plus tard.
Cachou et son maître les attendaient. Ils guidèrent les gendarmes à l’intérieur
et à leur grande surprise, il n’y avait plus personne. Cachou vit Marcel
monter dans une voiture et s’enfuir à toute vitesse. Il prévint les gendarmes
qui les emmenèrent avec eux dans leur voiture et suivirent discrètement
Marcel.
Ce brigand ne se rendit même pas compte qu’on le suivait. Il s’arrêta
bientôt car le chemin était trop étroit. Les gendarmes se garèrent derrière
un arbre et se faufilèrent au milieu des fougères pour ne pas se faire
remarquer.
Marcel entra dans un ancien sémaphore, puis il disparut. Homer trouva
ça bizarre. Marcel n’avait même pas monté les marches. Les gendarmes ,
Homer, ainsi que Cachou s’approchèrent pour résoudre cette
énigme. En entrant dans la sémaphore, ils découvrirent une petite porte.
En s’approchant doucement, ils entendirent une voix : « Alors Marcel,
tu as tous tes tonneaux ? Quand pourras-tu me les donner ? »
Marcel lui répondit : « Tu les auras la semaine prochaine. Tu n’auras
qu’à me rejoindre au port Haliguen, au restaurant du cœur. De là, je te
donnerai ce que tu veux et tu pourras repartir où tu veux. » Le chef dit
oui de la tête et serra la main de Marcel.
Juste à ce moment, les gendarmes, suivis d’Homer et de Cachou, entrèrent
dans la pièce et découvrirent des centaines de tonneaux remplis de fausses
pièces de monnaie.
Le chef dit : « Oh non ! Pas encore ceux-là ! ! ! »
Homer dit : « Eh oui ! ! ! Nous sommes les justiciers du mal ! »
Les gendarmes sortirent leurs menottes et embarquèrent le chef et toute
sa bande. Avant que les gendarmes embarquent Marcel, Homer lui demanda
où était le reste des fausses pièces de monnaie. Marcel lui répondit :
« Elles sont dans le galion à l’entrée de la presqu’île de Quiberon. C’est
tout ce que je sais. » Après cette information qui permettra de tout récupérer,
les gendarmes mirent Marcel et sa bande dans leur fourgon et partirent
au commissariat.
Cachou et Homer furent félicités pour avoir résolu cette énigme en suivant
les malfaiteurs autour du monde.
Aurélie

Le rafiot chargé de tonneaux quittant
le port du Caire.

La fin imaginée par Pauline
Homer et Cachou prirent tous les
deux le bateau pour aller à la Corogne. Ils aperçurent les bandits en
train de parler près du quai. Homer dit à Cachou : " Tu vois les tonneaux
là-bas. Va te cacher dans un des trois. " A ce moment là, un homme leva
l’ancre et la bande monta. Brutus renifla les tonneaux et aboya. Fred,
le chef de la bande, dit : " Brutus, viens là, on va se faire remarquer
!"
Cachou s’en alla alors des tonneaux
et dit à Homer : " Ils vont se réunir au même endroit ce soir à 19 h 45.
"
Ils firent escale pour se restaurer à Malte. Ils mangèrent des spaghettis
à la bolognaise. Deux heures plus tard ils remontèrent dans le bateau,
et le vent commençait à se renforcer.
Ils arrivèrent le lendemain au détroit de Gibraltar et la mer était très
agitée. Le bateau montait et redescendait au gré de la houle. On se serait
cru dans un manège " de montagnes russes ". Heureusement quelques heures
après, elle se calma.
Homer et Cachou avaient très faim, ils allèrent prendre discrètement du
riz dans la cuisine pendant que le cuisinier prenait l’air sur le pont
et allèrent le manger dehors. Il était maintenant 19 h 40. Homer dit :
" Eh !Cachou, il faut aller voir ce qu’ils bricolent, les voilà ! "
Un homme dit :
" Et ! Jeff qu’est-ce qui t’amène ici ?
- J’ai reçu un coup de fil de Marcel. Nous ne nous arrêtons plus à La
Corogne mais il faut aller à Quiberon, en Bretagne, répondit Jeff.
- Quand as-tu reçu ce message ?
- J’ai reçu ce coup de téléphone avant qu’on passe le détroit de Gibraltar.
"
Cachou vit une pièce de monnaie
à coté des tonneaux. Homer ouvrit un des tonneaux et vit plein de pièces
de fausse monnaie. Arrivés à Quiberon, toute la bande se dirigea vers
la coopérative du port . Homer et Cachou les suivirent discrètement. Fred,
le cousin de Jeff, dit : " Alors Marcel, tu as pêché beaucoup d’araignées
? " .
C’était leur mot de passe.
Marcel, le véritable chef de la bande, lui indiqua : " Va à l’ancien Sémaphore,
c’est là que se trouve tout l’argent que nous avons déjà amassé . " Homer
et Cachou comprirent alors que toute la bande allait s’y retrouver pour
y cacher la
cargaison. Homer dit : " Moi, je vais aller appeler la police et toi tu
les suis .
-OK! dit Cachou. "
Arrivés au Sémaphore, les voleurs
soulevèrent une plaque. Mais à ce moment là, la police arriva et dit :
" Mettez les mains sur la tête ! " Ils arrêtèrent la bande et Homer et
Cachou reçurent 20 000 euros , en récompense, qu’ils
donnèrent aux enfants malades.
FIN

La fin
imaginée par Sarah
Homer et Cachou se cachèrent
dans la soute du bateau . Homer vit un pêcheur qui vint vers eux .Cachou
eut l’ idée qu’ Homer se déguise en pêcheur . Ils attaquèrent un " brigand-
pêcheur ", prirent ses habits et Homer prit sa place. Mais il y
avait un problème : Cachou était un chien, il ne pouvait pas se déguiser.
Homer dit :
" Comme tu ne peux pas te déguiser, tu vas rester ici. Je viendrai te
rechercher. "
Homer monta les escaliers et le grand chef lui dit :
" Tout est normal ?
- Euh… Oui chef ! Tout est en ordre !
- Alors va prendre ces tonneaux et mets-les dans cette grosse caisse.
- Oui chef ! "
Mais Homer se rappela que s’ il déplaçait les caisses, Cachou se ferait
voir. Il commença à descendre dans la soute. Soudain le chef le rappela,
il lui dit :
" Prends BRUTUS au cas où quelqu’un viendrait. "
Tout ça posait de gros problèmes à Homer et Cachou. Mais heureusement
le chef appela les dix marins car ils allaient s’arrêter en Sicile.Homer
dit au chef :
" CHEF ! ! !
- Ne m’appelle plus comme ça, maintenant appelle-moi Christophe. Alors
qu’est-ce que tu voulais me dire ?
- Je peux rester ici ?
- Pour quoi faire ?
- Pour finir mon travail Che…euh…Christophe. "
Christophe autorisa Homer à finir son travail, puis il appela Brutus.
Le chef avança vers Homer et lui demanda :
" Tu es sûr de ne pas vouloir venir ? Nous allons aller manger des spaghettis
à la bolognaise faits maison .
- Non, non je suis sûr !
- Si tu insistes, dit Christophe.
- Au fait, on descend où ?
- On ne t’a pas informé qu’on va s’arrêter à la Corogne.
- Ah oui, c’est vrai j’avais oublié ! Bon je retourne au travail. "
Homer pensa " qu’il avait eu chaud. "Il s’avança vers la cachette de Cachou.
Cachou s’était écroulé, il dormait. Il n’en pouvait plus. Homer le réveilla
et lui raconta toute son histoire. Homer se releva et dit :
" Oh ! mince ! j’ai oublié de ranger les tonneaux ! ! "
Heureusement, il mit le dernier tonneau à temps.
Le chef vit Cachou et demanda à Homer :
- C’est ton chien ?
- Euh … Oui !
- Comment s’appelle t-il ?
- Euh. Ca…Caprice. " : répondit Homer et le chef repartit.
Quelques jours plus tard, le bateau arriva à la Corogne. Mais Christophe
reçut un coup de téléphone qui lui disait :
" Allez à Quiberon, au centre de St Julien très exactement. Arrêtez-vous
plutôt à Brest. De là, prenez un camion pour y aller " . Puis il raccrocha.
Le lendemain, Christophe appela tous ses marins et leur dit :
" Le directeur "vient de nous appeler et nous dit d’aller jusqu’en France,
à Brest très exactement. Alors au boulot ! ! ! "
Homer était surpris. Cela voulait dire qu’il y avait plusieurs chefs !
Homer retourna dans la soute où, là, Cachou dit :
" Je ne m’appelle pas Caprice, mais Cachou ! ! !
- Si j’avais dit que tu t’appelais Cachou, le chef et sa bande nous auraient
arrêtés.
Désormais tu t’appelles Caprice .
- Bon maintenant revenons aux choses sérieuses…Apparemment, il n’y aurait
pas qu’un directeur mais deux. Quelqu’un a appelé le… "
Cachou lui coupa la parole et lui dit :
" J’ai tout entendu ! ! ! "
Et il lui raconta tout ce qu’il avait entendu.
" Dans deux jours, il y aura une tempête. " : dit Homer. Cachou reprit
:
" Et nous arrivons seulement dans quatre jours .
- Nous aurons la tempête . "dit Homer.
Deux jours après, le deuxième directeur rappela et dit :
" Rendez-vous au Port Maria. Oubliez Brest ! " Et il raccrocha comme la
première fois. Christophe rappela ses dix marins et dit :
" Cap Port Maria ! France ! Quiberon ! " Même si ce jour là il y avait
la tempête, les dix marins travaillaient quand même. Enfin ils arrivèrent
au Port Maria.
Christophe dit à l’un des marins :
" Prends des fausses pièces de monnaie, nous allons acheter du poisson
pour ne pas nous faire trop remarquer. "
L’équipage du bateau, ainsi que Homer et Cachou allèrent vers la " Criée
" pour acheter quelques poissons et des crustacés.
Mais le directeur de la Criée vit que ce n’était pas de la vraie monnaie
et ferma toutes les portes et reconnut Homer et Cachou. Le directeur leur
fit un signe et dit :
" Salut les amis ! Bravo, vous avez réussi à ramener ici les voleurs !
Homer si tu veux bien, va appeler la police. Cachou va rester avec moi
! ! ! "
Ainsi les voleurs et leur chef se firent arrêter et le sac d’euros fut
rendu à Cachou qui le distribua aux pauvres du port.
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